À la parution de son premier roman, À cause des garçons, Samuel Larochelle a fait une entrée remarquée. Danielle Laurin écrivait dans Elle Québec : « Il a 27 ans, du bagou, du talent. » Voici la suite de cette première publication, le deuxième volet des tribulations amoureuses, professionnelles et existentielles d’Émile. Ponctué d’humour et d’élans d’émotions, ce deuxième titre aborde de front le couple sous toutes ses formes et tous ses angles, en plus d’écorcher l’homophobie ambiante et notre rapport à l’image.
Été 2012. Émile Leclair est en Asie, perdu, malade et seul. Pourtant, six mois plus tôt, à Montréal, le couple qu’il formait avec Davide était un exemple de fulgurance amoureuse capable de convertir les plus cyniques. À travers le regard du jeune Gaspésien, ses souvenirs, son intensité et ses réflexions souvent très drôles, on revisite l’année toute en montagnes russes qui a précédé ce voyage et les surprises qui ont suivi... Sa complicité avec Davide a-t-elle succombé aux obstacles placés sur leur route ? Est-il plutôt arrivé quelque chose au peintre italo-iranien, dont la carrière semblait sur le point d’éclore ? Ou est-ce le jeune photographe qui aurait perdu pied, à travers ses premiers contrats, ses projets d’expositions et ses questionnements persistants sur le regard des autres ? D’une manière ou d’une autre, Émile gagne en maturité au fil du temps et des expériences. Et comme toujours, ses proches — Lilie, Clara, Charles, Bryan et la mamma — savent l’entourer, sans se gêner pour le confronter à ses certitudes sur le couple !
Pétillant et mélancolique, Samuel Larochelle écrit des livres aussi profonds que divertissants. On lui doit entre autres le récit poétique J’ai échappé mon cœur dans ta bouche, les romans À cause des garçons et Parce que tout me ramène à toi, ainsi que l’album Le plus petit sauveur du monde, récompensé du prix littéraire Espiègle et publié dans sept pays. Il occupe également une place de choix en journalisme et en entrepreneuriat culturel.
« Quelque chose d’amusant. Très visuel comme livre, ça ferait un film ! C’est fait avec beaucoup d’humour et d’autodérision. On sent bien que Samuel Larochelle a mis beaucoup de lui dans ce livre-là. En plus il est gourmand ! Ça m’a totalement séduite. J’ai beaucoup aimé ça. C’est très enlevant ! »
- Chrystine BROUILLET, Salut Bonjour Week-End« Le jeune auteur Samuel Larochelle nous offre un roman sucré, chargé d’une universalité touchante, qui, malgré ses presque 400 pages, se lit d’un trait. »
- Garrance PHILIPPE, Elle Québec« Un livre que j’ai beaucoup aimé. Teinté d’humour, franc, des belles réflexions, des scènes cocasses, des pensées sur le couple, sur l’engagement. Ça nous tient en haleine au fil des pages. Un roman écrit de façon très libre. J’ai aimé beaucoup ce style d’écriture, parfois poétique, parfois virulent. C’est captivant. Un beau livre sur le couple d’aujourd’hui. Ça fait la preuve que les histoires d’amour entre gais, ça nous intéresse aussi. Un beau roman que j’ai vraiment, vraiment aimé. Samuel, c’est une plume qui est en train de prendre toute sa place dans l’univers littéraire au Québec. »
- Pascale WIHLELMY, Rythme FM« Vous jouez avec les codes de la chick lit, mais de la chick lit haut de gamme. »
- Catherine PERRIN, Médium large, Radio-Canada Première« 369 nouvelles pages de son univers amoureux et amical, tout aussi ludique que rempli de réflexions, franchement réaliste et pleinement ancré dans Montréal, qui nous est maintenant chaleureusement familier. Du point de vue de la trame, Parce que tout me ramène à toi est supérieur à À cause des garçons. »
- Marie-Josée ROY, Huffington Post Québec« Avec Parce que tout me ramène à toi, le journaliste et auteur Samuel Larochelle ramène Émile, héros romanesque bien de son temps, rencontré dans À cause des garçons. Une véritable “bibitte”, une “contradiction sur deux pattes”, qui vit désormais, avec émerveillement et passion, une grande histoire d’amour avec un peintre italo-iranien. Montréalais d’adoption, présentement “aux balbutiements de sa réflexion sur la paternité”, le personnage dans la vingtaine (qui partage quelques, mais juste quelques points communs avec son créateur) parcourt la ville, ses rues et ses restos, avec son appareil photo, croquant le portrait de gens inspirants. Craquant. »
- Natalia WYSOCKA, Journal Métro« Samuel Larochelle maîtrise déjà très bien la plume ; son deuxième roman n’en est qu’une autre preuve. Plus qu’une histoire d’amour, ce roman aborde l’affirmation de soi et la force des liens amicaux et familiaux. »
- Lisanne RHEAULT-LEBLANC, Nightlife.ca« Il n’a pas trente ans et peut s’enorgueillir de tout un parcours. Un écrivain à découvrir de toute urgence. […] un grand sens du dialogue, et il est vrai que l’on pense rapidement à une possible adaptation à la télévision, voire au cinéma. »
- Denis-Daniel BOULLÉ, Fugues« Après une quête amoureuse et identitaire, c’est dans un véritable thrilleur amoureux que plongeront les lecteurs de Parce que tout me ramène à toi, le second roman de Samuel Larochelle. »
- Martin GUINDON, L’Écho Abitibien« Ponctué d’humour et d’élans d’émotions, Parce que tout me ramène à toi aborde de front le couple sous toutes ses formes, en plus d’écorcher l’homophobie ambiante et notre rapport à l’image. »
- Benjamin ABBA, Ton Barbier« Samuel Larochelle creuse tous les thèmes plus en profondeur dans Parce que tout me ramène à toi. Il nous avait offert un charmant premier roman en 2013, mais cette suite est encore meilleure. Un Émile plus mature, des personnages secondaires encore plus touchants et une écriture plus maîtrisée. »
- Camille MASBOURIAN, Bible urbaine« La plume de Larochelle est fraîche et elle a la limpidité et l’efficacité d’une rosée matinale. On s’accroche au personnage du jeune gaspésien et on boit avidement les moindres détails de cette histoire. Si certains pouvaient croire que le roman s’adresse à la scène gay montréalaise, détrompez-vous ! C’est plutôt une histoire qui fait son chemin à travers nous, qui résonne avec les défaites et les moments magiques de chacun. Un roman à la fois sucré comme une chick lit avec son côté cru et sans détour qui lui donne autant de gueule. Une histoire à glisser dans son sac, qui vous fera vite oublier Netflix. »
- Léonie SIGNORI, Le Contemporaliste« À travers les 369 pages de ce 2e roman, on retrouve l’intensité, l’originalité, la sensibilité et le côté humoristique du personnage principal, Émile. »
- Cindy BOURQUE, L’Indice bohémien« Émile nous livre ici ses anecdotes amoureuses et amicales, ses réflexions, ses questionnements et ses pleurs avec une candeur rafraîchissante. Pour avoir lu plusieurs jeunes auteurs québécois dans les derniers mois, j’ai trouvé le récit de Samuel Larochelle particulièrement différent et original. […] l’écriture de Larochelle est soignée et lyrique tout en étant très facile à lire. En bref, Parce que tout me ramène à toi est une agréable lecture sur l’amour et les relations humaines. Ce roman est un excellent remède contre les blues automnaux de novembre. »
- Amélie LACROIX MACCABÉE, Boucle Magazine« […] on est témoin de l’acquisition de maturité de la part d’Émile, autant en amour, dans la vie de tous les jours, et aussi dans sa carrière. C’est beau de le voir ainsi grandir sous nos yeux. […] on s’aperçoit que dans ce deuxième opus, l’auteur a également gagné en maturité d’écriture. L’histoire est mieux ficelée et Samuel semble aller plus loin émotionnellement avec ses divers personnages. Ce que j’aime beaucoup aussi de ce livre, tout comme le précédent, c’est qu’on présente l’histoire d’Émile avec Davide comme une belle histoire d’amour, point. Sans mettre vraiment l’emphase sur le fait qu’ils soient gais, mais comme une histoire d’amour entre deux personnes, tout simplement. Au final, c’est divertissant, émouvant, parfois déstabilisant, avec une pointe d’humour. Que demander de plus ? »
- Shirley NOËL, Info-Culture.biz« Par ailleurs, l’humour dont fait preuve son narrateur, notamment dans ses petites phrases inscrites en italique et mélangées au récit, est l’autre force majeure de ce roman : ces éclairs ludiques de vivacité rejoignent les pensées secrètes que pourrait aussi avoir le lecteur, et plus globalement ceux qui se sentent touchés par le propos. »
- Cyril SCHREIBER, CHYZ.CA