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© Maxyme G. Delisle

Maryse Rouy

Les arbres bleus de Charlevoix

Un jour, en marchant le long du fleuve, Maryse Rouy a eu l’idée d’un roman qui raconterait l’histoire d’une jeune femme recluse avec son chien dans une maison isolée pour créer une oeuvre... Cette femme, c’est Claire. L’œuvre, c’est un documentaire sur un peintre énigmatique, et le chien, son unique compagnon lorsqu’un grand chagrin bouleversera sa vie. Heureusement, le temps viendra où «le noir des arbres s’éclaircira jusqu’à reprendre une teinte d’un bleu léger et lumineux».

Résumé

Claire, trentenaire heureuse, s’isole près de Charlevoix pour réaliser un documentaire sur un peintre dont les toiles montrent une belle femme triste entourée d’arbres bleus. Dès le début de ce séjour de travail dont elle se faisait une joie, elle découvre que la solitude lui est insupportable et décide de retourner à Montréal auprès de Jean-Louis. Mais une lettre arrive, incompréhensible, et qui change tout...

L’auteure

© Maxyme G. Delisle

Reconnue pour ses talents de raconteuse et la qualité de son écriture, Maryse Rouy a publié une trentaine de romans. Le polar médiéval Au nom de Compostelle lui a valu, en 2003, le prix Saint-Pacôme du roman policier et deux tomes de sa série Les chroniques de Gervais d'Anceny ont été finalistes au prix Arthur-Ellis, qui récompense la littérature policière canadienne. Dans un registre différent, Être du monde (2019) livrait un récit très personnel voyageant entre la mère perdue et la mer toujours recommencée, tandis que Toute la chaleur du Nord marque son retour au roman.

Roman
256 pages
Collection : Reliefs
Dimensions : 15,2 x 23 cm
Paru le 19 septembre 2012
Papier
ISBN 978-2-89711-016-1
9,95$
Numérique - EPUB
ISBN 978-2-89711-017-8
6,99$
Numérique - PDF
ISBN 978-2-89711-018-5
6,99$

Ils ont aimé

« Par petites touches, Maryse Rouy dessine une intrigue tout en nuances où l’art transcende le réel. [...] On s’immerge dans Les arbres bleus de Charlevoix pour "en revenir, léger et heureux, lavé de ce qui noircit le quotidien". **** »

- Anne GENEST, Entre les lignes