À ses risques et périls, Marie-Claude Gagnon ne peut s’empêcher d’expérimenter différentes formes de récits pour dire ce qui est tu et têtu en nous. Elle aime construire, déconstruire et reconstruire le monde qui s’y déploie sous nos yeux. Entreprise parfois exigeante, ce qu’elle nous propose prend, par bonheur, les allures d’un jeu où légèreté et gravité se chevauchent. Son premier roman, Je ne sais pas vivre, lui a valu le prix Jovette-Bernier en 2002.