Voici le livre d’un jeune passionné par les affaires publiques qui n’a pas froid aux yeux. Il ne craint pas de fustiger la stagnation collective dans laquelle le Québec se trouve, en identifie les causes et recommande de nombreuses solutions pour remettre le Québec en marche. Il se permet ce que personne n’ose faire en ce moment, soit suggérer d’affronter la question nationale en travaillant collectivement à définir ce que nous voulons comme relation avec le Canada. Et la méthode qu’il propose vaut le détour ! En préface, Claude Béland et Léo Bureau-Blouin témoignent de la valeur de la réflexion et amorcent le débat.
Avec un regard aiguisé, Jocelyn Caron peint la situation politique, sociale et administrative du Québec, ce qui fonde sa différence et dicte la conduite de son avenir ; ce tableau est le point de départ d’une réflexion sur les problématiques auxquelles les Québécois doivent faire face. S’ensuit une rigoureuse analyse des raisons de cet état sociétal : si tous les segments de la société portent chacun une part de responsabilité, notre situation nationale est, en soi, source de stagnation. La dernière partie de l’ouvrage présente des solutions audacieuses, parfois risquées, toujours structurantes pour changer les choses. En somme, l’ouvrage constitue une sorte de réquisitoire pour que le Québec quitte son marasme et entame une phase de progrès, pour que la collectivité québécoise termine, enfin, de construire l’édifice de sa nation et se positionne clairement par rapport au Canada.
Spécialiste de l’administration publique, Jocelyn Caron est vice-président exécutif du cabinet Intangible Gouvernance et est diplômé de l’Université de Montréal et de la prestigieuse École Nationale d’Administration (ÉNA) de France. Le destin du Québec chevillé au corps, il livre dans l’essai Choisir le progrès national ses réflexions sur l’avenir de sa nation.
« Ce livre doit être lu. Par tous les Québécois. Parce que nous sommes à l’heure des choix. Pour ma part, je choisis le progrès national. Le livre et le projet. »
- Claude Béland« Enfin, un souffle de jeunesse chez un de nos analystes politiques ! […] Honoré de deux préfaces, l’une de Claude Béland, ex-président du Mouvement Desjardins, et l’autre du député péquiste Léo Bureau-Blouin, ex-leader étudiant, le livre du politologue est d’une audace certaine […]. En décelant, chez nous, les vestiges du colonialisme, Caron réveille de belles hardiesses politiques. »
- Michel Lapierre, Le Devoir« […] ça se lit comme une super histoire ! […] c’est vraiment un ouvrage hyper intéressant et je pense qu’en fait on est à l’aube, peut-être, oui, d’une nouvelle réflexion avec une nouvelle génération qui prend la parole. C’est vraiment rafraîchissant. »
- Louis-René Beaudin, 4 à 6, CIBL« […] j’ai senti une forme d’inquiétude et de doute qui, en avançant, se transforme en choses tangibles, en solutions et en espoir. […] pour une génération comme la nôtre, et même toutes les générations – il est également beaucoup question des baby-boomers, de leur place dans le service public, c’est-à-dire d’utiliser leur force collective et leur force financière –, j’en recommande la lecture. Ça se lit très bien et ça suscite de bonnes réflexions pour l’avenir du Québec. »
- Jean-Bernard Marchand, Jeunes loups, vieux lions, CNV.ca« Hâte de vous retrouver en politique ! On a besoin de personnes qui savent réfléchir plutôt que vociférer. »
- Florent Michelot, Jeunes loups, vieux lions, CNV.ca« Son ouvrage est stimulant et témoigne d’un attachement profond pour le Québec. »
- Pascal Chevrette, L’Action nationale« Ambitieux, structuré, critique, ce bouquin mérite le meilleur sort. »
- Laurent Laplante, Nuit blanche