Dans ce deuxième tome rempli de mille et une péripéties se déploie habilement une leçon de résilience et d’humilité. La victoire est rarement là où on pensait la trouver… à travers les obstacles se cache une découverte inespérée.
Lucy Bird songe avec excitation aux trésors qu’elle rapporte dans ses bagages. Or, si elle veut marquer un grand coup en tant que chasseuse de plantes au service de l’Empire britannique, encore faut-il qu’elle ramène sa précieuse cargaison à Londres. Le territoire entre elle et le port de Québec est si vaste que sa foi en la réussite de l’entreprise s’effrite. Accompagnée d’Étienne le coureur des bois et de Mahikan le guerrier innu, elle devra marcher jour et nuit pour arriver à temps à son transatlantique, alors que l’orage guette au même titre que les animaux sauvages. Et il y a cette rivière gonflée par le torrent qu’il faut descendre en canot malgré la présence hostile de Mahikan qui ne rêve que d’une chose : la jeter par-dessus bord. Pour son avenir et son orgueil, Lucy doit tout risquer, briller… et survivre jusqu’à la fin !
Benjamin Alix persiste pour que sa vie ne soit faite que d’écriture, d’amour et d’air frais. En tant qu’auteur et scénariste, il est curieux d’explorer l’âme humaine sous toutes ses facettes, les plus sombres comme les plus lumineuses. Passionné par l’aventure, il continue sur sa lancée avec le deuxième opus de la série, Lucy Bird à la recherche du jardin d’Éden – Le destin des ardents, qui plaît autant aux jeunes et moins jeunes adultes de ce monde.