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© Martine Doyon

François Gravel

Prendre la mort comme elle vient

À soixante-dix ans et des poussières, François Gravel a conscience que la mort sera bientôt au rendez-vous. Cette perspective l’incite à se poser quelques questions : l’âme pèse-t-elle réellement vingt et un grammes ? À la fin, voit-on vraiment une lumière au bout du tunnel ? Que peut-on apprendre de ceux qui sont passés par là avant nous ?

Résumé

Fidèle à lui-même, il aborde ce thème avec humour, ce qui est sans doute la meilleure façon d’en parler sérieusement. Épitaphes, dernières phrases célèbres, déambulations dans des cimetières, réflexions, souvenirs…, autant de sujets traités avec légèreté et humanité, qui nous ramènent tous à notre destin commun.

L’auteur

© Martine Doyon

François Gravel est l’auteur de plus d’une centaine d’ouvrages pour les jeunes lecteurs et le public adulte. De nombreux prix littéraires jalonnent sa prolifique carrière, dont le Prix du Gouverneur général du Canada, le prix du livre M. Christie ou encore le Prix TD. Il a récemment publié À vos ordres, colonel Parkinson ! et Le deuxième verre, dans lesquels il se penche sur des sujets délicats et qui inaugurent un tournant plus personnel dans son œuvre.

Essai littéraire
256 pages
Collection : Reliefs
Dimensions : 13,5 x 18,4 cm
Paru le 21 février 2024
Papier
ISBN 978-2-89711-695-8 
24,95$
Numérique - EPUB
ISBN 978-2-89711-696-5 
16,99$
Numérique - PDF
ISBN 978-2-89711-697-2 
16,99$

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« Pour décrire l’œuvre de Gravel, je n’aurais pas trouvé mieux. L’écrivain, comme le chanteur [Brassens], est drôle, mais ne niaise pas. Il ne prend pas la mort de haut, mais refuse de la laisser gagner de son vivant. Par ses fantaisies littéraires — commentaires sur les dernières paroles d’écrivains, critique des rituels funéraires modernes insignifiants, examen de conscience facétieux —, il tente de déjouer la mort le plus longtemps possible en s’en jouant, tout en sachant qu’elle s’approche. [...] Même s’il pense de plus en plus souvent à la mort, François Gravel est toujours bien vivant, mes amis, et je m’en réjouis. »

- Louis Cornellier, Le Devoir