Dans la foulée du succès de ses deux premiers romans — plus de 100 000 exemplaires vendus dans le monde —, Claire Bergeron fait revivre des femmes qui se sont battues pour prendre leur place. Quand les femmes étaient des ombres, un nouveau roman aussi émouvant que captivant, comblera ses lecteurs.
Alors que commence le vingtième siècle, au Québec, les hommes dirigent tout. Sans statut social, sans droit de vote et sans pouvoir sur leur propre corps, les femmes sont, dit-on, les reines du foyer. Deux d’entre elles, dans l’ardeur confiante de leur jeunesse, tenteront un pas en avant, au risque de provoquer bien des drames. Ludivine, jeune Française immigrée à Montréal, est l’épouse d’un carriériste député à l’Assemblée législative, et elle dérange avec son féminisme, alors qu’Angélique, à Ville-Marie, prie pour le retour de son fiancé aventurier, afin de ne pas être contrainte d’abandonner le fruit de leur amour interdit. Ces femmes, sans rien en commun à l’origine, emportées par une époque bouleversée — la migration des Canadiens français vers les États-Unis, la Grande Guerre, la grippe espagnole et le krach de 1929 —, verront la magie des hasards les réunir. Au fil de leurs destins croisés se dénoueront les intrigues. Mais dans leur quête d’amour et de liberté, trouveront-elles encore suffisamment de force pour faire évoluer les mentalités et vivre enfin cette plénitude à laquelle elles aspirent ?
Claire Bergeron a touché des lecteurs de plusieurs continents avec ses romans, notamment Sous le manteau du silence et Les amants maudits de Spirit Lake. En 2016, elle a également dirigé un collectif de nouvelles, Aimer, encore et toujours, qui présentait l’amour chez les personnes d’âge mûr sous des facettes aussi nombreuses qu’inattendues. Chaque roman représente pour l’écrivaine une nouvelle occasion de tirer de l’ombre une page méconnue de notre histoire, qu’elle sait toujours rendre captivante. www.clairebergeron.com
« C’est vraiment efficace, ça se lit d’une traite. J’ai beaucoup aimé ça. Je ne la connaissais pas, mais je vais continuer à la lire. »
- Chrystine Brouillet, Salut Bonjour weekend